Une vie pour tant de rêves
Pour répondre à une question récurrente, j’ai du commencé ce livre à 17 ans. J’aurais pu comme tout le monde attendre ma retraite pour le finir mais il s’agit plus d’une cure pour moi. Je me soulage de page en page.
Je me trimbalais tous les jours avec des feuilles papiers comme un asthmatique avec son inhalateur. Il ne me fallait qu’un stylo pour respirer, je me sentais libre. Rien ne pouvait m’atteindre ou m’arrêter. J’ai challengé le temps et ai décidé de continuer. Ce n’était pas que pour avancer mais c’était une question de survie.
Des titres et des histoires obsèdent mon esprit ;
Les Chroniques d’un Ghetto Français,
Les Errances Affectives : l'âme sœur,
Les Vœux de Monsieur Dockins,
La Maison de l’Héritage,
HS…
Si ce ne sont que des titres aujourd’hui, j’ose espérer qu’il en sera autrement demain.