29 juillet 2010
Le temps passe si vite…
J'ai encore dans ma besace qui me sert de tête tellement à accomplir. Une course contre le temps, un temps que j’aimerais dompter. Les interviews, les salons, ces rencontres littéraires ou hasardeuses, un plaisir sur lequel, je ne veux pas me reposer.
À la question « pourquoi les Errances Affectives? », je répondis l’amour, l’amour est quelque chose que l’on a en soit, cette jeunesse et ce milieu universitaire sont des souvenirs que je garde sans même me forcer… « Les Errances Affectives » fut le plus facile à écrire, le plus accessible!
« des pages que chacun de nous écrivons au jour le jour sans en connaître la fin, s’agissant d’une nouvelle, un poème , un roman de poche ou un paver plus gros que le bottin!»
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