4 janvier 2010
Ecrivain ?
C’est en forgeant que l’on devient forgeron. C’est en écrivant que l’on devient écrivain. Je ne m’arrête plus. J’ai l’impression de muer. Les Errances Affectives : La fin d’un Don Juan, semble avoir été écrit il y a des centaines années. Je ne regrette rien, mais mon regard a changé tout comme mon style. J’avance et me transforme. Mon art évolue et avec lui mes projets…
Dans Les Errances Affectives, j’ai laissé des passages écrits alors que je n’avais que 17 ans. J’en suis fier car je pense y conserver l’essence du livre. Une authenticité que l’on ne pourra jamais lui enlever. Je me surprends dans mes propres lignes...
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